The Hunger for Truth in a World of Lies
The world may be filled with deception, but our souls were never meant to live in fear. This is my story of finding truth and freedom in the middle of chaos.
Awakening isn’t just about light — it’s about facing the shadows, the deception, and the ways the world tries to keep us small. In this piece, I share my journey of reclaiming truth and power, even when the world feels hijacked.
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There are days when I feel like this entire existence has been hijacked — that we’ve been trapped in a maze built on deception, fear, and control. It’s a heavy realization, one that shakes you to your core. When that veil first started to lift for me, it wasn’t liberating at all. It was terrifying.
For so long, I trusted what I was told — by systems, by people, by the very fabric of society that promised stability if I just played by its rules. But when I started questioning those rules, when I started seeing how much of what we’re shown is illusion, I felt betrayed. I felt used. And underneath that betrayal was a deep, aching grief.
I used to believe that spiritual awakening was all light — that it meant peace, love, and gentle guidance from the universe. But awakening also means seeing the shadows. It means facing the manipulation, the injustice, and the ways we’ve been conditioned to stay small. It’s not pretty, and it’s not easy.
There are moments when I want to scream, “I want my divine right back. I want my power back.” Because deep inside, I know I was created for more than this — more than fear, more than struggle, more than just surviving day after day in a world that feels rigged.
I want truth. Not the curated, polished truth the world sells us, but the raw, living truth that exists beneath it all — the one that reconnects us to who we really are.
And yet, finding that truth in this age of noise is a battle. The internet is overflowing with contradictions. Every “truth” is wrapped in another agenda. Every light seems shadowed by manipulation. Sometimes I don’t know who or what to trust anymore.
But in the middle of all that confusion, something sacred is happening. Each time I pause, breathe, and come back to my own body — to the rise and fall of my breath, the beating of my heart — I realize that truth isn’t out there. It’s right here. It’s in the stillness before I react, in the softness that remains after the anger subsides.
I’m beginning to understand that reclaiming my divine power doesn’t mean fighting the darkness outside of me. It means remembering that the light within me was never lost. It was buried — under fear, under lies, under the weight of survival. But it’s still here.
I still get angry. I still cry. I still want things to change. But now, instead of begging for truth, I’m choosing to embody it — in how I live, how I speak, and how I protect my energy from the noise of the world.
My becoming is not about perfection or peace. It’s about remembering that even when the world feels hijacked, my soul is still free.
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I’d love to hear your thoughts.
Do you ever feel caught between awakening and overwhelm — between truth and confusion?
Share what this brings up for you in the comments. Let’s walk through this remembering together.
With kindness, always — until the next unfolding.
— Sandra
La Faim de Vérité dans un Monde de Mensonges
Le monde est peut-être rempli de tromperies, mais nos âmes n’ont jamais été destinées à vivre dans la peur. Voici mon histoire : celle de la recherche de vérité et de liberté au milieu du chaos.
L’éveil spirituel, ce n’est pas seulement de la lumière — c’est aussi affronter les zones d’ombre, les illusions et tout ce qui essaie de nous garder petits. Dans cet article, je partage mon expérience pour retrouver la vérité et ma force intérieure, même quand le monde semble perdu dans le chaos.
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Il y a des jours où j’ai l’impression que toute cette existence a été détournée — que nous sommes piégés dans un labyrinthe construit sur la tromperie, la peur et le contrôle. C’est une prise de conscience lourde, qui vous secoue jusqu’au plus profond de vous-même. Quand ce voile a commencé à se lever pour moi, ce n’était pas libérateur. C’était terrifiant.
Pendant longtemps, j’ai fait confiance à ce qu’on me disait — aux systèmes, aux gens, au tissu même de la société qui promettait la stabilité si je respectais ses règles. Mais lorsque j’ai commencé à questionner ces règles, à voir combien ce qu’on nous montre n’est qu’illusion, je me suis sentie trahie. Je me suis sentie utilisée. Et sous cette trahison se cachait un deuil profond, douloureux.
Je croyais autrefois que l’éveil spirituel n’était que lumière — qu’il signifiait paix, amour et guidance douce de l’univers. Mais s’éveiller, c’est aussi voir les ombres. C’est affronter la manipulation, l’injustice et toutes les façons dont on nous a conditionnés à rester petits. Ce n’est ni joli, ni facile.
Il y a des moments où j’ai envie de crier : « Je veux retrouver mon droit divin. Je veux retrouver ma puissance. » Parce qu’au fond de moi, je sais que j’ai été créée pour plus que cela — plus que la peur, plus que la lutte, plus que survivre jour après jour dans un monde qui semble truqué.
Je veux la vérité. Pas celle, polie et formatée, que le monde nous vend, mais la vérité brute et vivante qui existe en dessous de tout cela — celle qui nous reconnecte à qui nous sommes vraiment.
Et pourtant, trouver cette vérité à l’ère du bruit est un combat. Internet déborde de contradictions. Chaque “vérité” est enveloppée dans une autre intention. Chaque lumière semble assombrie par la manipulation. Parfois je ne sais plus à qui ou à quoi faire confiance.
Mais au milieu de toute cette confusion, quelque chose de sacré se produit. Chaque fois que je fais une pause, que je respire et que je reviens à mon propre corps — au va-et-vient de mon souffle, aux battements de mon cœur — je réalise que la vérité n’est pas dehors. Elle est ici. Elle est dans le silence avant que je réagisse, dans la douceur qui demeure après que la colère s’est apaisée.
Je commence à comprendre que reprendre mon pouvoir divin ne signifie pas combattre les ténèbres à l’extérieur de moi. Cela signifie me rappeler que la lumière en moi n’a jamais été perdue. Elle était enfouie — sous la peur, sous les mensonges, sous le poids de la survie. Mais elle est toujours là.
Je me mets encore en colère. Je pleure encore. Je veux encore que les choses changent. Mais désormais, au lieu de mendier la vérité, je choisis de l’incarner — dans ma manière de vivre, de parler et de protéger mon énergie face au bruit du monde.
Mon devenir n’est pas une quête de perfection ni de paix. C’est un rappel : même lorsque le monde semble détourné, mon âme reste libre.
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J’aimerais connaître vos ressentis.
Vous arrive-t-il de vous sentir pris·e entre l’éveil et le débordement — entre vérité et confusion ?
Partagez ce que cela éveille en vous dans les commentaires. Avançons ensemble sur ce chemin du souvenir.
Avec bienveillance, toujours — jusqu’au prochain dévoilement.
— Sandra

