The Dark Truth of Spiritual Awakening: When Light Feels Like Darkness
The part of awakening no one prepares you for — when light feels like loss, and everything familiar begins to fall away.
Many speak about spiritual awakening as peace and light, but few prepare you for the collapse that comes before it — the confusion, isolation, and unraveling that mark the true beginning of becoming.
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Everywhere you look online, people talk about spiritual awakening as a path toward peace, light, and clarity. But what many don’t talk about is the other side — the darkness, confusion, pain and collapse that often come before the light.
I recently watched a YouTube video by @ProjectPhaseTwo called “The Dark Truth of Spiritual Awakening No One Talks About,” and it stopped me in my tracks. The speaker described this period as the dark night of the soul — a phase where everything you once believed begins to fall apart. It resonated deeply because I’ve been there. In many ways, I’m still there.
The Descent Into Darkness
There comes a point when the things that once brought comfort — the company of others, music, going out, even laughter — no longer do. It’s like being stripped bare. You can’t focus. You can’t sleep properly. You feel disconnected from everyone and everything — basically, in survival mode.
I’m going through this stage where nothing makes sense. I cut people out of my life because I couldn’t relate anymore. I stopped reaching out because I felt like no one would understand. Even trying to explain it made things worse — exhausting, really. People looked at me as if I were being dramatic or overthinking. Some told me to get therapy. But this wasn’t something that could be reasoned with or fixed in the usual way.
It felt like falling into the deepest, darkest hole I had ever been in. And the most painful part? Realizing that I had done everything “right.”
Be kind. Go to school. Get a good job. Work hard. Be humble. Don’t complain.
Yet somehow, it still broke me.
The False Promises of “Instant Healing”
When you start looking for answers, you find a flood of online content — people selling healing packages, shadow work guides, and meditations promising transformation. But few prepare you for the reality that awakening often begins with unraveling.
No one tells you that before the light comes, there is an emptiness — a stage where you feel like you’re losing your mind.
That’s the part nobody sells because it isn’t glamorous. It doesn’t fit neatly into a social media post about “love and light.”
Metamorphosis, Not Madness
What this video reminded me is that this dark phase isn’t a failure or a punishment — it’s a metamorphosis.
A breaking down of false layers, of illusions that were never truly you.
It’s not comfortable. It’s not peaceful. It’s messy, painful, and often very lonely.
But it’s a necessary undoing so that something real can emerge.
The universe, as the speaker said, doesn’t care about our comfort — it cares about evolution. And evolution, by nature, is disruptive. It dismantles everything built on illusion, everything that isn’t aligned with truth.
Awareness as Light
If you find yourself in this darkness — feeling lost, numb, or hopeless — know that awareness itself is already part of the healing.
Being aware that you’re in this process means you’re not lost; you’re awakening.
The pain is not the end of your story. It’s a sign that your soul is trying to emerge from everything false and conditioned.
You’re Not Broken. You’re Becoming.
I’ve come to see that the dark night of the soul isn’t a detour — it’s part of the path.
It’s where the old self dies so that the real one can finally breathe.
So if you’re crawling through the tunnel and can’t yet see the light, don’t give up.
You’re not broken. You’re becoming.
And maybe, just maybe, that’s what awakening really means.
With kindness, always — until the next unfolding.
— Sandra
La vérité sombre de l’éveil spirituel : Quand la lumière semble être l’obscurité
La partie de l’éveil pour laquelle personne ne vous prépare — lorsque la lumière ressemble à une perte et que tout ce qui vous était familier commence à s’effondrer.
Beaucoup parlent de l’éveil spirituel comme d’un chemin vers la paix et la lumière, mais peu vous préparent à l’effondrement qui précède — la confusion, l’isolement et le démantèlement qui marquent le véritable début du processus de devenir.
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Partout sur Internet, on parle de l’éveil spirituel comme d’un chemin vers la paix, la lumière et la clarté. Mais ce que beaucoup ne mentionnent pas, c’est l’autre côté — l’obscurité, la confusion, la douleur et l’effondrement qui surviennent souvent avant la lumière.
J’ai récemment regardé une vidéo YouTube de @ProjectPhaseTwo intitulée « The Dark Truth of Spiritual Awakening No One Talks About », et elle m’a arrêtée net. L’orateur y décrit cette période comme la nuit noire de l’âme — une phase où tout ce que vous croyiez commence à s’effondrer. Cela m’a profondément parlé, car je suis passée par là. Et, d’une certaine manière, j’y suis encore.
La descente dans l’obscurité
Il arrive un moment où les choses qui apportaient autrefois du réconfort — la compagnie des autres, la musique, sortir, même le rire — ne suffisent plus. C’est comme si l’on était dépouillé. On ne peut pas se concentrer. On ne peut pas bien dormir. On se sent déconnecté de tout et de tous — essentiellement en mode survie.
Je traverse cette étape où rien n’a de sens. J’ai coupé des personnes de ma vie parce que je ne pouvais plus me reconnaître en elles. J’ai cessé de tendre la main parce que j’avais l’impression que personne ne comprendrait. Même essayer d’expliquer empirait les choses — épuisant, vraiment. Les gens me regardaient comme si je dramatisais ou que je réfléchissais trop. Certains m’ont conseillé de suivre une thérapie. Mais ce n’était pas quelque chose que l’on pouvait raisonner ou régler de manière habituelle.
C’était comme tomber dans le trou le plus profond et le plus sombre que j’aie jamais connu. Et la partie la plus douloureuse ? Réaliser que j’avais fait tout « correctement » :
Soyez gentil. Allez à l’école. Obtenez un bon emploi. Travaillez dur. Soyez humble. Ne vous plaignez pas.
Et pourtant, d’une certaine manière, cela m’a brisée.
Les fausses promesses de la « guérison instantanée »
Quand on commence à chercher des réponses, on tombe sur une avalanche de contenus en ligne — des personnes vendant des forfaits de guérison, des guides de shadow work et des méditations promettant la transformation. Mais rares sont ceux qui préparent à la réalité : l’éveil commence souvent par un démantèlement.
Personne ne vous dit qu’avant que la lumière n’apparaisse, il y a un vide — une étape où l’on a l’impression de perdre la tête.
C’est cette partie que personne ne vend parce qu’elle n’est pas glamour. Elle ne s’inscrit pas dans un post sur les réseaux sociaux vantant « l’amour et la lumière ».
Métamorphose, pas folie
Ce que cette vidéo m’a rappelé, c’est que cette phase sombre n’est ni un échec ni une punition — c’est une métamorphose.
Un démantèlement des couches fausses, des illusions qui n’ont jamais été vraiment vous.
Ce n’est pas confortable. Ce n’est pas paisible. C’est désordonné, douloureux et souvent très solitaire.
Mais c’est une destruction nécessaire pour qu’émerge quelque chose de réel.
L’univers, comme le l’orateur l’a dit, ne se soucie pas de notre confort — il se soucie de l’évolution.
Et l’évolution, par nature, est perturbatrice. Elle démantèle tout ce qui est construit sur l’illusion, tout ce qui n’est pas aligné avec la vérité.
La conscience comme lumière
Si vous vous trouvez dans cette obscurité — perdu(e), engourdi(e) ou désespéré(e) — sachez que la conscience elle-même fait déjà partie de la guérison.
Être conscient que vous traversez ce processus signifie que vous n’êtes pas perdu(e) ; vous vous éveillez.
La douleur n’est pas la fin de votre histoire. C’est un signe que votre âme essaie d’émerger de tout ce qui est faux et conditionné.
Vous n’êtes pas brisé(e). Vous êtes en train de devenir.
J’en suis venue à voir que la nuit noire de l’âme n’est pas un détour — elle fait partie du chemin.
C’est là que l’ancien soi meurt pour que le vrai puisse enfin respirer.
Alors si vous rampez dans le tunnel et que vous ne voyez pas encore la lumière, n’abandonnez pas.
Vous n’êtes pas brisé(e). Vous êtes en train de devenir.
Et peut-être, juste peut-être, c’est ça le véritable sens de l’éveil.
Avec bienveillance, toujours — jusqu’au prochain déploiement.
— Sandra